par Le propriétaire de cette basse VOX des années antédiluviennes, avait laisser parler son expressivité artistique sur le corps et la tête du manche de cet instrument…
Puis il a décidé qu’il était temps d’adopter un nouveau design…
Le corps de cette basse est recouvert d’une finition noire (sous l’œuvre post-impressionniste…), d’une épaisseur et d’une dureté inattendue !
Le décapage va donc s’effectuer à l’aide de divers outils, plus ou moins agressifs.
Le plus efficace reste le décapeur thermique et la spatule…
Cette « gangue noire » se décolle, plus ou moins facilement, par plaques, plus ou moins importantes.
Ce matériau laisse moins de traces sur le corps, une fois décollé, qu’un apprêt du type époxy, mais reste tout aussi coriace…
Mais il va quand même falloir poncer les résidus, afin d’obtenir une surface lisse et finie, pour pouvoir appliquer par la suite un fond dur, et la finition de toute beauté :
L’artiste peintre avait poussé son art jusque dans les moindres recoins de cet instrument, qui n’en demandait pas tant !
Une innovation technologique va être adjointe à l’ensemble, afin de permettre l’émission de sons venus du futur, mais pour l’instant ce n’est qu’une planche de bois mal dégrossie…
Recouverte d’un primaire teinté noir, afin de donner de la profondeur aux paillettes…
Ce primaire, ainsi que le vernis qui va suivre, est en phase aqueuse (Acrylique), non toxique, robuste, à voir dans le temps…
Le corps et la tête pailletés ressemblent déjà plus à un instrument de prestige !
Mais ceci n’est que le fond mat, il faut maintenant appliquer le vernis brillant, pour que cette basse rayonne de milles feux…
Comme ceci…
La prochaine étape va consister à polir ce vernis, après égrainage au grain très fin (de 800 à 4000), et de remonter tout l’accastillage, avec une modif maison sur l’électronique
